Si j’étais :

Une couleur, le Bleu majorelle 

Un musicien, Bill Evans

Une odeur, la Fleur d’Oranger dont je me parfume

Ma marque de fabrique :

Un surnom à consonance slave qui me plait beaucoup. Sûrement une réminiscence de ma vie de Tsarine au XVIe siècle.

Mes rêves :

Danser comme Fred Astaire, flotter dans l’espace au milieu des étoiles

Mes ressources :

L’amour, la beauté en toutes choses, les grands arbres, les chats, la musique, la vibration des couleurs, le monde des odeurs…

Mon parcours :

Eclectique et singulier. Il reflète la richesse des rencontres que j’ai faites et des opportunités que j’ai saisi pour renouveler mes perspectives et faire le plus possible de liens entre mes passions, mes valeurs et mon travail.

Trois choses dont je ne me lasse pas : 

Ecouter les grillons du soir, marcher dans une forêt, planer sous l’eau avec masque et tuba

Un hymne :

« De l’amour je bois la lumière de ses incendies »

(A. Jodorowsky)

Un mot : 

Miracle

Un super pouvoir :

L’ubiquiquité

Mes formations :

Graphisme, design textile, art-thérapie, réalisation et montage vidéo, photographie, naturopathie, aromathérapie, études des parfums…

Je continue à me former régulièrement et de manière professionnelle pour développer de nouvelles connaissances, compétences et enrichir mon savoir-faire et mon savoir-être. J’ai à coeur de toujours garder en éveil cette joie et cette curiosité d’apprendre, découvrir, expérimenter, partager.

Une définition de CRÉER :

« … Événement générateur et généreux, singulier et singularisant, vital et vivifiant, qui élève en plein cœur de la vie comme une protestation de survie… » (Paul Audi)

 

« Je porte ainsi en moi, sculptée depuis l’enfance, une sorte de statue intérieure qui donne une continuité à ma vie, qui est la part la plus intime, le noyau le plus dur de mon caractère : cette statue, je l’ai modelée toute ma vie.

Je lui ai sans cesse apporté des retouches. Je l’ai affinée. Je l’ai polie.

La gouge et le ciseau, ici, ce sont des rencontres et des combinaisons. Des rythmes qui se bousculent. Des feuillets égarés d’un chapitre qui se glissent dans un autre au calendrier des émotions.

Des terreurs évoquées par ce qui est toute douceur. Un besoin d’infini surgi dans les éclats d’une musique. Tous les émois et les contraintes, les marques laissées par les uns et les autres, par la vie et le rêve. » 

François Jacob